Les examinateurs continueront à faire grève en décembre en raison de la "déloyauté" de la DGT

Les examinateurs de la circulation garderont en décembre la grève qu'ils ont suivie depuis juin dernier en raison de la "déloyauté, manque de respect et manque de considération" du directeur Général de Trafic, Gregorio Serrano, selon le président du groupe, Joaquín Jiménez.

Madrid, 23 novembre (EFE) .- Les examinateurs de la circulation maintiendront en décembre la grève qu'ils suivent depuis juin dernier face à "la déloyauté, le manque de respect et le manque de Considération "du directeur général de la circulation, Gregorio Serrano, selon le président du collectif, Joaquín Jiménez, a déclaré à Efe.

Cela a été la réaction des examinateurs, regroupés dans l'association Asextra, à la conférence de presse qui a donné Serrano mardi dans lequel il a rapporté les offres lancées par la DGT pour désengorger le conflit qui a causé la suspension de 193.000 essais dans toute l'Espagne.

Serrano a pas de négociations rompues, mais dit que la situation a atteint « la limite » par l'intention « non » des examinateurs approche des positions, il a donc annoncé que, pour continuer les arrêts de travail en décembre, la moitié des services minimums seront décrétés, tandis que l'incorporation de nouveaux sera accélérée

Pour les examinateurs, cette conférence de presse a brisé le processus de négociation ouvert et pour lequel, comme l'a dit Jiménez, ils pesaient "faire une pause" en décembre. penser à la citoyenneté.

Comme il l'a dit, alors qu'ils attendaient une réponse à son offre, le directeur général a agi de manière «déloyale» et a brisé l'approche. Il y a eu une négociation, même si nous étions distants », a-t-il ajouté.

Par conséquent, en décembre, la grève se poursuivra aux mêmes conditions que précédemment: tous les lundis, mardis et Mercredi.

De plus, Asextra déposera un recours administratif si Traffic confirme qu'elle établit un minimum de 50% de service.

Jiménez a soutenu que les examens de la circulation ne sont pas un service essentiel, il n'est donc pas nécessaire d'établir ces minimums, comme l'a montré Traffic dans le passé.

Il a rappelé que président d'Asextra que la grève n'affecte pas deux jours de chaque semaine et que le reste de la journée est suivi par 60% de l'effectif.